Me voilà donc à San Sebastian de la Gomera. A peine arrivé (depuis 36h malgré tout), j’aime cet endroit : la petite ville se mesure d’un seul coup d’œil ; pas d’immeubles démesurés qui cassent le rythme ; des palmiers, partout ; une plage (de sable noir) ; des gens agréables. Surtout ce dernier point en fait : comparé à Santa Cruz de La Palma, il y a de la vie ici !
Il m’est arrivé une nouvelle mésaventure, la suite hélas prévisible de tous les ennuis rencontrés avec le vendeur de bel ami : une panne sur (...)