Le lendemain, il fait beau, grand soleil qui chauffe fort, je suis reposé, tout va bien. Je fume ma clope, celle du café qui est si bonne, dans le cockpit, à regarder un voisin, un anglais, type poids lourd, dont on devine la respiration lourde à chacun des pas, chacune des manœuvres qu’il fait. Je me demande comment fait cet homme, à la démarche et aux gestes si lents, lorsque dans l’urgence il faut aller vite, et bien.
Je range le bateau, et sors le taud, puis la bicyclette, que j’installe sur le (...)