Par Majuboul, plus si dengue (j’espère) qu’à son retour à Paris Quand Majuboul déboule avec une partie de sa tribu, pauvre bel ami... Finis l’ordre, le silence, la quiétude...
Chacun son sport : pour Gab c’est la sieste à toute heure ; Babou est monté sur ressorts, tout déplacement se termine invariablement...à l’eau ! Pour Sosso la nage avec ou sans frite, avec des progrès remarquables. Et pour Majuboul son bouquin qu’elle est bien décidée à terminer quoi qu’il arrive.
Alors, pauvre Captain Henri : au (...)